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Un modèle de traduction basé sur les proverbes et leurs métaphores: Une position cognitive descriptive
Traduit de l'anglais par l'auteur. Résumé Cet article dévoile un modèle de la traduction. Les proverbes exposent une source importante et fiable de recueille corpus, dans ce cas particulier, du français à l'anglaisde traductions reconnues des métaphores. Les proverbes et leurs métaphores constituent un indice de composants inhérents qui comprennent, mais qui ne sont pas limités au message, aux sens, aux connotations et à la structure syntactique, ainsi qu'à l'information provenant de sources telles que le texte ou la connaissance personnelle d'un individu. Ces composants sont des éléments essentiels de traduction et sont interdépendants. Cependant, le degré du rôle de chaque élément qui constitue le processus global de la traduction varie. Alors, un modèle de traduction doit être flexible pour accommoder ses variances, une tâche accomplie par ce modèle par des stratégies de mappage cognitif et le point de vue que la traduction comprend le comment et le quoi de l'occurrence. Abstract This paper demonstrates that representation of translation by way of a model is possible. As a corpus, proverbs offer a vast and reliable source of previously translated metaphors, in this case, French to English. Proverbs and their metaphors constitute a sign with inherent components that include, but are not limited to, message, meaning(s), connotations, and syntactic structure, as well as information derived from sources such as the text or an individual's personal knowledge. Such components are essential and interdependent elements of translation. However, the extent of the role of each of the components that constitute the overall process of translation varies. In other words, the makeup of each proverb and its metaphor varies. Thus, a translation model must be flexible in order to accommodate these variances, a task accomplished by this model through cognitive mapping strategies and the view that translation involves both how it occurs and what occurs. Mots-clés : traduction, proverbe, métaphore, linguistique, mappage, conceptuel, attribut, relationnel, modèle, cognitif Introduction Dans cette traduction de « A Model of translation based on proverbs and their metaphors : a cognitive descriptive approach » (Wilson, LACUS 2009, publication en attente), je propose qu'un modèle de traduction soit possible, et j'introduis ce modèle sous une forme que j'ai dérivée d'une analyse d'un corpus de la traduction de proverbes et de leurs métaphores du français à l'anglais (Wilson 2009 passim). Les proverbes et leurs métaphores servent d'un excellent corpus pour puiser dans les bases de traduction pour fin d'analyse, et subséquemment pour formuler un modèle de traduction, pour plusieurs raisons. L'avantage principal est qu'il existe déjà une quantité considérable de traductions acceptées de proverbes entre les deux langues, ce qui élimine toute question de validité sur les exemples spécifiques de traduction. Une deuxième raison également importante est que les proverbes comprennent généralement des métaphores, et donc, produisent une masse de traductions acceptées culturellement des métaphores. De plus, parce qu'ils sont largement imprégnés culturellement, les proverbes dévoilent une évocation conceptuelle, exprimant le raisonnement des locuteurs d'un langage. Cette évocation est réciproque car elle devient un outil pour la traduction de textes qui n'auraient pas été traduits précédemment.
Composants du modèle Pour commencer, le modèle de Wilson se base sur un concept fondamental de traduction, ainsi bien que de points de vue spécifiques sur le message et le sens. La prémisse de base qui soutient la traduction est qu'au moment de sa traduction, le traducteur subit une série de comportements cognitifs (analyser, interpréter, reformuler) dans lequel un proverbele messagetransite de la langue source à la langue cible, tel que manifesté dans Schéma I. Le message est, tout au moins, constitué du concept et son véhicule, et existe du point de vue du signe tel qu'énoncé par Saussure (1983/1915), traduisible par des règles et des processus du modèle de traduction de Holmes (1988:83). De cette façon, les proverbes sont traités comme signes dans cet article - un concept total dans les idées, compris d'un signe (le véhicule de Richards 100 ; l'unité lexicologique [linguistique] de Vinay et Darbelnet 37) et d'un signifié, le concept porteur ou libéré par le signe. Schéma I. Le concept fondamental de traduction Le signifiant du proverbe existe en deux entités, le sens linguistique et la structure linguistique, en termes de dualité qu'Eugene Nida précise dans sa représentation du sens linguistique. Linguistic meaning must be carefully distinguished from other types of meaning, for the linguistic signification of a form does not refer to anything outside of the language itself, as does referential or emotive meaning, but rather to the meaningful relationships which exist within the language. On the other hand, linguistic meaning is similar to referential and emotive meanings, for all types of meaning are derived essentially from the signaling of a relationship. (Nida 1964:57) [Le sens linguistique doit minutieusement se distinguer des autres espèces de sens, car le sens linguistique d'une forme ne se réfère à rien hors du langage lui-même, tel que le sens référentiel ou émotif, mais plutôt à d'autres rapports significatifs qui existent intra-langage. D'un autre coté, le sens linguistique est similaire aux sens référentiels ou émotifs car tous les types de sens dérivent essentiellement du signalement d'un rapport.] Par exemple, « beggars can't be choosers » comprend une structure linguistique de nom, verbe et négation, chacun de ces éléments ayant un rôle et une définition propre à lui même, et ensemble ils produisent un élément physique pour le message. Cependant, ce proverbe a aussi une définition linguistique- beggars cannot be choosers (les personnes qui mendient n'ont pas de choix)-qui fonctionne comme une des définitions du message. La structure linguistique joue un rôle linguistique et fournit un outil linguistique pour le message alors que la définition linguistique contribue au sens du message. Parce que chaque message comprend la définition linguistique de même que la structure linguistique, le traducteur doit considérer les deux en traduisant le message de la source langagière à la cible langagière. De plus, le sens linguistique n'est pas le seul sens qui contribue au signe. Roland Barthes fait plusieurs réclames concernant l'interprétation d'un texte dans ce qui suit. Son argument principal, qui sert d'élément intégral de cette thèse, supporte le modèle de Wilson qu'un texte contient des composants multiples (pluralité) et n'est pas distinguable simplement d'un concept singulier, comme la définition. Il présume qu'aucun composant peut l'emporter sur la globalité du groupe de composants, non plus que le texte dans sa globalité, ni les composants en un groupe. Interpréter un texte, ce n'est pas lui donner un sens (plus or moins fondé, plus ou moins libre), c'est au contraire apprécier de quel pluriel il est fait ... ce texte est une galaxie de signifiants, non une structure de signifiés; il n'a pas de commencement ; il est réversible ; on y accède par plusieurs entrées dont aucune ne peut être à coup sûr déclarée principale ; les codes qu'il mobilise se profilent à perte de vue ... les systèmes de sens peuvent s'emparer, mais leur nombre n'est jamais clos, ayant pour mesure l'infini du langage ... il faut à la fois dégager le texte de son extérieur et de sa totalité. Tout ceci revient à dire que pour le texte pluriel, il ne peut y avoir de structure narrative, de grammaire ou de logique du récit ; si donc les uns et les autres se laissent parfois approcher, c'est dans la mesure (en donnant à cette expression sa pleine valeur quantitative) où l'on a affaire à des textes incomplètement pluriels, des textes dont le pluriel est plus ou moins parcimonieux. (Barthes 11-12) De la même manière que le traducteur considère le sens linguistique et la structure linguistique, il doit également s'assurer que la pluralité du texte est maintenue ; particulièrement, pour tous les sens de certains signes. Examiner le proverbe « you can't be in two places at once (on ne peut pas être en deux places à la fois) ». Plusieurs sens sont évidents : on doit faire un choix, être dans une place implique qu'on ne peut pas être ailleurs, et vous voulez les deux options, comprises dans le sens linguistique (you cannot be in two places at once). Tous ces sens sont relatifs à la traduction du proverbe. D'autres facteurs affectent ces définitions et, à tour, contribuent à l'indice également ; facteurs tels que contexte et connotation. Autrement dit, un texte comprend plus d'entités que le message et les sens, or chaque entité ne peut pas exister isolée des autres et doit être entretenue pour le texte dans la langue cible. Avec des concepts fixés de traduction, message, et sens en place, les autres composants relatifs du modèle de Wilson, spécifiquement les connotations et le contexte, prennent leurs positions. Les valeurs connotatives sont celles qui reflètent les facteurs humains. Parce que les proverbes comptent sur les valeurs axiologiques, les connotations sont des éléments prédominants dans la traduction de proverbes ; donc, le modèle traite la connotation comme un des composants importants de la traduction, un aspect qui doit être traité séparément, même si les connotations seraient normalement considérées comme contexte. Le statut de connotation repose sur la nature particulière du signifié, à savoir : l'appartenance à tel niveau de langue ou type de discours; la valeur affective; la valeur axiologique; l'image associée; Certaines valeurs sémantiques additionnelles apparaissant à la faveur de mécanismes associatifs divers (effets de la polysémie, des collocations, de l'allusion, etc.) (Kerbrat-Orecchioni 70) Les connotations varient dans leur genres et leur intensité et, d'après Kerbrat-Orecchioni, résident en les attributs du signifié spécifique. Elles sont destinées en fonction de niveaux et types de discours, tel que l'argot (ouais) versus le langage soutenu (Oui Monsieur). Telles distinctions transmettent des valeurs humaines telles que le respect ou l'autorité, ou inversement, leurs absences. Les valeurs affectives transmettent l'émotion, telle que la déception ou la colère. Comparons la différence entre les nouvelles l'ont chagriné, les nouvelles l'ont ravagé, et les nouvelles lui sont parvenues. Chacun de ces messages communique que quelqu'un a reçu des nouvelles mais la diversité du choix de mots communique les émotions différentes, même l'absence d'émotion tel qu'avec le verbe neutre reçu, aussi bien que divers niveaux d'intensité, tel que chagriné versus ravagé. Similairement, les valeurs axiologiques, ou jugements de valeur, telles que bon, mauvais, etc., expriment le système de valeurs de son auteur. Les connotations amplifient le sens linguistique ; mais, plusieurs facteurs affectent les connotations d'une unité linguistique, telle que la culture et les autres compétences humaines, c'est-à-dire la logique et la créativité et ces aspects, à leur tour, affectent la constitution du proverbe et sa métaphore. Un facteur clef pour comprendre un proverbe et enfin de compte sa traduction, réside dans la compréhension de l'équilibre qui existe parmi et à l'intérieur des proverbes individuels concernant les connotations, ainsi que les autres composants du message. Les connotations relient généralement à partir de la source langagière directement à la cible langagière. Alors, par exemple, une connotation comme envie dans la source langagière se révélerait comme envie dans la cible langagière [envie (français), greed (anglais)]. Les connotations sont vraiment un type de contexte, puisque le concept de contexte le plus compréhensif les considère comme facteurs psychologiques. The set of premises used in interpreting an utterance (apart from the premise that the utterance in question has been produced) constitutes what is generally known as the context. A context is a psychological construct, a subset of the hearer's assumptions about the world. It is these assumptions, of course, rather than the actual state of the world, that affect the interpretation of an utterance. A context in this sense is not limited to information about the immediate physical environment or the immediately preceding utterances: expectations about the future, scientific hypotheses or religious beliefs, anecdotal memories, general cultural assumptions, beliefs about the mental state of the speaker, may all play a role in interpretation. (Sperber and Wilson 1986:15-16) [L'ensemble de prémisses qui servent à interpréter une énonciation (à part la prémisse que l'énonciation en question a été exprimée) constitue ce qui est généralement connu comme le contexte. Un contexte est une construction psychologique, un sous-ensemble des hypothèses de l'auditeur concernant le monde. Ce sont ces suppositions, bien entendu, plutôt que l'état actuel du monde, qui affectent l'interprétation de l'énonciation. Un contexte dans ce sens n'est pas limité à l'information concernant l'environnement physique immédiat ou les énonciations précédant immédiatement : prévisions du futur, hypothèses scientifiques ou croyances religieuses, mémoires anecdotiques, assomptions, culturelles générales, convictions de l'état mental de l'interlocuteur, peuvent tous jouer un rôle d'interprétation.] Alors, tous les facteurs qui affectent l'esprit humain concernant la conceptualisation d'un proverbe constitue son contexte, et ceux-ci inclus, en accord avec cette définition, les connotations. En plus des connotations, la logique, le sens linguistique et la situation (de la structure linguistique et du texte) sont des genres de contexte des métaphores du proverbe qui ont tendance à être dominants. Par exemple, le message de « a bird in the hand is worth two in the bush » repose sur un contexte qui reflète la logique humainei.e. la valeur de deux contre la valeur d'un, et aussi qu'un seul acquis est meilleur que deux possibilités. La situation évidente dans la structure linguistique est qu'un seul acquis est mieux que deux perdus. Cependant, un texte typique du français de ce message mettrait peu probable au point des oiseaux mais devrait plutôt exprimer une situation ou un résultat garanti ; essentiellement, un résultat par rapport à de multiple possibilités de résultats qui risquent de ne pas se concrétiser ; donc, elle constitue une analogie d'une situation linguistique. Par ici, le concept de la situation comme contexte est important pour la traduction de proverbes, particulièrement à cause de leurs natures analogues. Pour récapituler, l'acte de traduction est un processus dans lequel un texte source devient un texte cible et fondamental pour le processus entier est que la traduction est une activité cognitive qui comprend des processus multiples qui sont séquentiels, simultanés et interdépendants. Ces composants et processus varient dans leurs existences et leurs intensités d'un signe à l'autre, et d'une situation de traduction à une autre. Quand un texte source traverse de la série de processus qui transfère le signe et ses composants vers la langue cible, le but de la traduction est de préserver autant de composants que possibles, correspondant à Schéma I. Ces composants - le message, le(s) sens, les connotations, le contexte et la structure linguistique - sont mappés d'une langue à l'autre. Le but ultime d'une traduction est l'équivalence, un événement qui se produit quand il y a autant de composants possibles qui correspondent entre les deux langues. Schéma II. Les comportements cognitifs Comportement cognitifle comment La traduction est un acte en doublage où les composants et les mécanismes (le mappage) forment un aspect différent, mais simultané, du modèle de traduction à part du comportement du traducteur. Essentiellement, comment la traduction se produit par les comportements cognitifs (cumulatifs) du traducteur et quoi vient de la transition du signe et ses composants de la langue source vers la langue cible. Le modèle de traduction de Wilson prend en compte le quoi qui provient des comportements cognitifs de Wolfram Wilss' (1994 passim), car ils présentent le portrait le plus précis de cet aspect de processus de traduction pour un modèle de traduction. Le modèle de Wilson représente la sommation de comportements du traducteur comme « analyse, interprétation, reformulation » en supposant qu'ils existent dans les mêmes termes décrits par Schéma II et supposant qu'ils existent à tous les niveaux du modèle. Ce groupe de comportements n'est pas exhaustif et comme tel, constitue un groupe flexible qui dépendent du traducteur, du matériel de traduction et de la situation de la traduction ; i.e. quel est l'objectif, quel est le lecteur cible, etc. Au minimum, la traduction implique des fonctions cognitives telles que les résolutions de problèmes et les prises de décisions. Des compétences linguistiques en deux langues ne sont pas suffisantes, car la traduction est une fonction cognitive complexe qui s'étang au-delà des compétences linguistiques. Donc, toutes les approches pour produire ou analyser un processus de traduction, tel que le modèle de Wilson, doit percevoir la traduction comme telle. If we decide to describe and explain translation processes by means of a cognitive framework of representation and legitimating, this has meaning only if we are prepared to investigate these processes in accordance with operational concepts. Such concepts are action, behavior, problem solving, decision-making, creativity, intuition, and the strategies, methods, techniques, and routines of translation. (Wilss 1990:21) [Si nous procédons à décrire et expliquer le processus de traduction selon les référents cognitifs de représentation et légitimation, ceci a une compréhension seulement si nous sommes prêts à exploiter ces processus en conformité avec les concepts opérationnels. Tels concepts sont l'action, le comportement, la résolution de problèmes, la prise de décisions, la créativité, l'intuition, et les stratégies, méthodes, techniques, et routines de traduction.] Le modèle de traduction de Wilson reconnaît les concepts opérationnels de Wilss dans la gamme de trois tâches générales (analyser, interpréter et reformuler) les considérant ensemble comme un groupe de processus qui se produisent simultanément à la transition structurelle, et imputable à tous les aspects du modèle. Ces tâches peuvent être indépendantes ou co-dépendantes, peuvent se produire simultanément ou successivement, et, peuvent se produire singulièrement ou répétitivement, dépendant sur la nature du texte de traduction et les compétences du traducteur. Tel qu'indiqué dans Schéma II, tous les comportements exécutés par le traducteur aboutissent dans le domaine du concept opérationnel. Mappagele quoi Le modèle de traduction représente le quoi de la traduction par moyen de mappage, dans le sens mathématique, lorsqu'une relation existe entre le texte source et le texte cible, et que cette relation (provenant du mappage) est équivalente. Le signe en entier est mappé (signe/message) ; mais, également mappés sont les sens, les connotations, la structure linguistique et le contexte. Donc, le mappage est un processus alors que les sens, les connotations, la structure linguistique et le contexte sont des composants. Certain mappages se produisent entre les langages, tel que les valeurs connotatives, pendant que d'autres mappages prennent place sous forme de stratégies mappées. Les exemples des stratégies mappées incluent : le mappage relationnel (Gentner and Kurtz, 2005 passim), dans lequel une relation est mappée entre les deux langues, telle que le concept que 2 > 1 ou qu'une action est exclusive d'une autre [exclusive (action1, action2)] ; le mappage d'attribut (Gentner, 1983 passim), dans lesquels les attributs sont mappés, tel que feu (fumée) ou action 1 (évacuer) ; et, le mappage conceptuel (Lakoff and Johnson, 1980 passim), qui reflète la pensée conceptuelle et son organisation, tel que bon est haut ou les idées sont plantes. Schéma III. Modèle d'un proverbe traduit (reconnu/accepté) Comme exemple, Schéma III examine le proverbe français « qui ne dit mot consent » pour lequel un équivalent anglais serait généralement « silence gives consent. » Pour que la traduction anglaise soit équivalente, elle doit exprimer autant de composants possibles du proverbe français, incluant :
Conclusion Le modèle de Wilson n'aborde pas toute question concernant la traduction. Par exemple, comment est-ce que le cerveau peut réaliser le mappage de composants, sous quelle forme est-ce que les composants existent, etc. Le fonctionnement du cerveau est une science en développement perpétuel. Toutefois, le modèle représente un pas dans la bonne direction pour mieux comprendre certains domaines du langage tels que la traduction, l'apprentissage des langues, les études culturelles, le traitement automatique des langues, et plus. Malgré la complexité, la compétence et la connaissance du model de Wilson, la compétence et la connaissance de la part du traducteur sont toujours nécessaires. Donc, des informations spécifiques, par exemple que la définition de « kick the bucket » est un message similaire à l'infinitif to die doit être connu ou disponible au traducteur, car les définitions et messages sont établis en culture. Essentiellement, les aspects tels que connotations ou contexte ne sont pas toujours aisément dérivés du texte source, et demandent de plus amples recherches de la part du traducteur. Aux certains moments de la traduction, le modèle indique un besoin pour certaines informations et ceci est le signal pour la contribution propre du traducteur. Le résultat, c'est la flexibilité nécessaire pour permettre les traductions originales, telle que cet exemple et l'exemple additionnel en forme du modèle de Schéma V. Schéma V. Modèle d'une traduction (originale) Par conséquent, ce modèle de traduction sert comme représentation de l'acte de traduction. C'est un point de référence pour les traducteurs, pour assister à évaluer les traductions qui existaient déjà et à introduire des traductions nouvelles ou précédemment non existantes, et c'est une explication du processus de traduction, mais cependant ce n'est pas un remplacement de connaissances ou compétences du traducteur. Œuvres citées BARTHES, ROLAND (1970) : S/Z. Paris : Éditions du Seuil. - (1974) : S/Z. Trans. Richard Miller, Paris : Farrar, Strauss and Giroux, Inc. De Saussure, Ferdinand (1983) : [1915] Course in General Linguistics. Ed. by Charles Bally and Albert Sechehaye. Trans. By Roy Harris. La Salle, Illinois : Open Court. GENTNER, DEDRE (1983) : Structure-mapping : A theoretical framework for analogy. Cognitive Science 7.2 : 155-170. GENTNER, DEDRE & KENNETH KURTZ (2005) : Relational categories. Categorization Inside and Outside the Lab. Eds. W.K. Ahn, R.L. Goldstone, B.C. Love, A.B. Markman & P.W. Wolff. Washington : American Psychological Association. 151-175. HOLMES, JAMES S. (1988) : Translated! Papers on literary translation and translational studies. Amsterdam : Rodopi. KERBRAT-ORECCHIONI, CATHERINE (1977) : La connotation. Lyon : Presses Universitaires de Lyon. LAKOFF, GEORGE & MARK JOHNSON (1980) : Metaphors we live by. Chicago : The University of Chicago Press. NIDA, EUGENE (1964) : Toward a science of translating. Leiden : Brill. RICHARDS, I.A. (1965) : The Philosophy of Rhetoric. New York : Oxford University Press. SPERBER, DAN & DEIRDRE WILSON (1986) : Relevance : Communication and cognition. Oxford : Blackwell. VINAY, JEAN-PAUL & JEAN DARBELNET (1995) : Comparative stylistics of French and English : A methodology for translation. Trans. By Juan C. Sager & M. J. Hamel. Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins Publishing Company. - (1977) : Stylistique comparée du français et de l'anglais : Méthode de traduction. 2nd edition. Paris : Didier. WILSON, FREEDA C. (2009) : A model for translating metaphors in proverbs (French to English): A cognitive descriptive approach. MA thesis UBC Okanagan, Kelowna. Electronic Theses and Dissertations. http://hdl.handle.net/2429/12923. Accessed 26, September 2009. WILSS, WOLFRAM (1990) : Cognitive aspects of the translation process. Trans. by Roger C. Norton. Language and Communication: An Interdisciplinary Journal 10.1: 19-36. Appendice Published - January 2011
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